Il existe trois types de chauffe-eaux thermodynamiques :
– L’aérothermique, qui représente la quasi intégralité du marché aujourd’hui. Ces équipements valorisent les calories de l’air, soit d’une pièce non chauffée comme le garage, soit de l’air extérieur. Sur air ambiant (système qui représente la moitié du marché actuel des CET)
– Le géothermique, qui récupère l’énergie stockée dans le sol via des capteurs enterrés. Il nécessite une surface de terrain relativement importante, au moins 5 m² dédiés à cet équipement et sur lesquels il ne sera pas possible de faire pousser des plantes. C’est donc un système plus complexe, un peu plus cher mais aussi plus performant – de l’ordre de 15 à 20 % –, qui peut valoir le coup si on a déjà un système équivalent pour le chauffage, par exemple.
– L’héliothermique, qui valorise directement l’énergie solaire, avec des panneaux solaires. Pour ce système, il faut donc installer des capteurs en façade ou en toiture. Ces équipements sont pour le moment très peu
développés en France.
3 différents systèmes, 3 performances énergétiques, 3 budgets à prévoir !
des économies réalisées qui peuvent aller jusqu’à 70 % (uniquement sur l’ECS).
Le budget à prévoir
Selon le rapport Suivi du marché pompes à chaleur individuelles d’Observ’ER, en 2017, le prix moyen d’un CET de 300 litres s’élevait à 2 250 euros TTC pour le matériel et 460 euros TTC pour la pose. Le crédit d’impôt 2018 pour un CET est de 30 % pour un prix maximum établi à 3 000 euros TTC (coût du matériel et pose).
Attention, il faut que l’appareil respecte un niveau minimum d’efficacité énergétique.
Avec MY BSE, nous intervenons dans votre logement, réalisons les vérifications nécessaires et établissons un devis de remplacement. Ce devis vous sera facturé 90,00 euros TTC, puis, en cas d’accord de travaux, il sera déduit de la facture.
